Vox
Titre origine  Vox
Compl. Titre  roman
Auteurs   Dalcher, Christina (Auteur)
Belano, Michael (Traducteur)
Edition  NiL éditions : Paris , DL 2019
Collation   1 vol. (429 p.)
Illustration   couv. ill. en coul
Format   21 cm
ISBN   978-2-84111-988-2
Prix   22 EUR
Langue d'édition   français
Langue d'origine   anglais
Catégories   Romans
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Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
JOUARS 1783210076650 R DALAdultes / Disponible à JOUARS
Résumé : Jean McClellan est docteure en neurosciences. Elle a passé sa vie dans un laboratoire de recherches, loin des mouvements protestataires qui ont enflammé son pays. Mais, désormais, même si elle le voulait, impossible de s'exprimer : comme toutes les femmes, elle est condamnée à un silence forcé, limitée à un quota de 100 mots par jour. En effet, le nouveau gouvernement en place, constitué d'un groupe fondamentaliste, a décidé d'abattre la figure de la femme moderne. Pourtant, quand le frère du Président fait une attaque, Jean est appelée à la rescousse. La récompense ' La possibilité de s'affranchir et sa fille avec elle de son quota de mots. Mais ce qu'elle va découvrir alors qu'elle recouvre la parole pourrait bien la laisser définitivement sans voix... Christina Dalcher nous offre avec Vox un roman dystopique glaçant qui rend hommage au pouvoir des mots et du langage
Notes : La couverture porte en plus : "Quand parler tue."

Commentaires

Si je vous parle d'un monde où les femmes ne peuvent plus travailler, et sont assignées à la maison pour s'occuper des enfants et des tâches domestiques ? Où leur poignet est équipé d'un bracelet qui leur délivre une puissante décharge électrique si par mégarde elles prononcent plus de 100 mots par jour ? Et bien c'est le chouette monde imaginé par Christina Dalcher dans son livre "Vox". J'ai été bien accrochée par ce pitch qui rappelle diablement celui de "La servante écarlate", mais malheureusement tout le monde n'a pas le talent de Margaret Atwood. Même si l'idée de départ est excellente, j'ai trouvé qu'elle s'essoufflait peu à peu, jusqu'à une fin limite aberrante pour la scientifique que je suis. C'est dommage, parce que la  justesse du propos est là, alors qu'en ce début de XXIème siècle on en est encore à se déchirer sur l'(in)égalité des hommes et des femmes. Bref, ça aurait pu être mieux !
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